Comments for Filmosaure Des dinosaures qui dévorent le cinéma. Mon, 25 Feb 2019 15:08:53 +0000 hourly 1 https://wordpress.org/?v=4.7.2 Comment on Lost Soul : The Doomed Journey of Richard Stanley’s Island of Dr. Moreau by Betty Elms /2014/09/16/lost-soul-the-doomed-journey-of-richard-stanleys-island-of-dr-moreau/#comment-159327 Mon, 25 Feb 2019 15:08:53 +0000 /?p=8687#comment-159327 Je viens de voir ceci ! https://www.amazon.com/Lost-Soul-Journey-Richard-Stanleys/dp/B00TTRDLT2 Amazon, oui je vous le recommande!

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Comment on Split : explication de la fin et analyse du film by Sylvie /2017/02/23/split-explication-de-la-fin-et-analyse-du-film/#comment-158284 Sat, 02 Feb 2019 23:42:27 +0000 /?p=10574#comment-158284 Bonjour,
la bête semble exister puisqu’on la voit à la fin, et ne pas être un fantasme de Casey. Mais pourquoi les barreaux de la cage dans laquelle est se trouve sont-ils intacts ? Soit la bête est une imagination de Casey, et c’est elle quia commis les meutres, soit c’est la b^te mais cette dernière a écarté les barreaux de la cage…

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Comment on Le Mécano de la “General” (1927) by coupat /2013/08/22/le-mecano-de-la-general-1927/#comment-156510 Sat, 29 Dec 2018 17:38:04 +0000 /?p=6373#comment-156510 bonjour
je l adore,,
j’ai vu à paris vers 70 71 une version tres longue avec les 3 trains qui se poursuivent en escaladant une montagne avec 2 z ( cul de sac avec un aiguillage pour repartir dans l autre sens pour grimper la pente)
que je n ai jamais pu retrouver,,,,
savez vous si elle existe encore?

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Comment on Black Swan (2011) by Mother ! 2017 Réalisé par Darren Aronofsky 2h1 avec Jennifer Lawrence, Javier Bardem, Ed Harris Thriller, Drame sentimental | Books of Dream /2011/11/21/black-swan-2011-12/#comment-156238 Tue, 18 Dec 2018 10:17:22 +0000 /?p=797#comment-156238 […] Aronofsky, surtout connu pour avoir réalisé Requiem for a Dream et Black Swan, décevait en 2014 avec l’indulgent Noé, ennuyeux récit biblique au premier degré. Il revient […]

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Comment on I am the pretty thing that lives in the house (2016) by Ludovic /2016/11/02/i-am-the-pretty-thing-that-lives-in-the-house-2016/#comment-155838 Sun, 25 Nov 2018 18:44:55 +0000 /?p=10287#comment-155838 A la fin du film, j’avais une plus grosse gueule de bois que si je m’étais pris une cuite la veille…j’aurais préféré me prendre une cuite, ça aurait été moins déprimant

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Comment on Explication et analyse du film Mother! par Darren Aronofsky by yepyep /2017/09/17/explication-et-analyse-du-film-mother-par-darren-aronofsky/#comment-155483 Sun, 04 Nov 2018 18:27:48 +0000 /?p=11252#comment-155483 Pour les péchés capitaux il y a la scène quand Mother surprend les deux personnes sur le point de copulé dans sa chambre et leurs dit de partir…L’orgueil … car l’homme lui répond “pfff TA chambre…” comme-ci cette chambre était aussi à lui voir à tout le monde.

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Comment on Explication et analyse du film Mother! par Darren Aronofsky by Anna-Lise /2017/09/17/explication-et-analyse-du-film-mother-par-darren-aronofsky/#comment-155399 Wed, 31 Oct 2018 00:57:07 +0000 /?p=11252#comment-155399 Mother ! est un cauchemar qui tourne en boucle. Un cycle infernal que rien ne peut rompre. Rien de la folie de son auteur n’est épargné au spectateur. Mais de quelle folie s’agit-il ?…
Un regard perspicace décèle dans la présence du couple invité dans la maison « gothique » (dans laquelle l’octogone est récurrent), celui formé par Adam et Eve, le premier couple « humain », ainsi que leurs deux fils, Caïn et Abel. Le drame se rejoue, Caïn assassine Abel par jalousie. Cette première violence va ouvrir les portes de l’enfer et ruiner le paradis que tente de rebâtir « Mother » sur les cendres de celui perdu autrefois.

Mais alors qui sont « le poète » et « Mother » ?
Sont-ils les représentants de la race édénique immortelle, chassé du paradis pour avoir frayé avec les humains mortels (ceux qui sont condamnés à mourir, comme l’homme qui tousse) ?

On peut se poser la question tant l’attitude du poète ne cadre pas avec cette hypothèse. Il n’en a ni les qualités « gothiques » qui le qualifieraient pour ce rôle (tel un auteur hugolien isolé dans les tempêtes spirituelles – ou spirites, teintées d’encre noire) ni le côté paternel bienveillant et calculateur (bien que l’homme invité prenne « Mother » pour la fille du poète, mais ce n’est qu’un leurre) et n’est jamais « à la hauteur de la situation », dirons-nous.
Au contraire, il apparaît à chaque instant comme le fils de « Mother », dépendant d’elle pour recevoir la source de son inspiration, et l’affection toute « maternante » sans laquelle il ne peut écrire. C’est la raison pour laquelle elle est nommée ainsi, d’ailleurs. Elle est davantage et même exclusivement sa mère que sa compagne.
Il faut voir en lui (« Him ») l’auteur lui-même, Darren A.
Plus le film avance, suivant ou fixant obsessivement le visage de Mother, tel le bambin guidé par sa maman et la suivant partout, plus il devient patent que Him est un autre Adam, un mortel, tout comme l’homme qu’il invite à résider chez lui. Ces deux-là se reconnaissent et se prennent immédiatement d’une amitié soudaine aux accents d’homosexualité latente. Ils sont de la même race : matérielle et égoïste. La sacralité ne les intéresse ni ne les concerne, sauf pour en tirer un bénéfice, un pouvoir qui hissera le poète au-dessus de sa condition terrestre pour en faire un géant, un héros parmi ses semblables. Atteindre ce pouvoir est son idée fixe, négligeant Mother, sans égards pour sa quête d’un bonheur absolu, frustrée de ce bien-être intimiste qu’elle quémande à tout instant.
Notons au passage la rune germanique gravée sur le briquet qui annonce la foi païenne de cette race d’hommes et qu’on peut voir également comme une grossière imitation du chrisme chrétien. Ce briquet allumera d’ailleurs le brasier de la destruction finale, autodafé et culte du feu purificateur qui témoigne et procède de ce paganisme.
On ne le saura qu’à la fin du film mais la célébrité que Him a acquise, il la doit au cristal qu’il est parvenu à arracher du cœur de Mother, qui se sacrifie (ou est sacrifiée) pour qu’il puisse atteindre gloire et notoriété. Sans ce quartz qui symbolise l’« esprit saint » contenu dans l’âme de Mother (son cœur), il est dépourvu de tout pouvoir « surhumain ». Il est entré en sa possession et devient ainsi l’égal des dieux, des dieux humains, race céleste dont Mother est la seule représentante.
Lorsque celui-ci est brisé, Him redevient le prédateur de Mother et doit à nouveau la séduire afin qu’elle lui rende son précieux pouvoir, celui d’écrire une œuvre « inspirée ». Avec un nouveau succès littéraire (cinématographique pour Darren A.), il devient une sorte de saint Joseph, assimilable au Père Éternel, père d’un christ (le film lui-même en quelque sorte) offert en partage à ses adorateurs dans une eucharistie païenne démente. Il est l’Artiste adulé, le poète, le conducteur des foules effrénées qui trouvent en lui un sauveur à leur image.
En ce sens, le couple qu’il forme avec Mother est le moteur de l’action, le couple œdipien sado-masochiste décrit par la psychanalyse freudienne. La mère subit ainsi la loi tyrannique de son fils qui les entraînera tous deux dans toujours plus de folie et de destruction, de vol, de viol, d’alcoolisation, de pillage et de meurtres de sang froid, en toute logique du pouvoir abusif qu’il exerce sur elle. Le surmoi qu’elle constituait vis-à-vis de lui, ce garde-fou qui le contenait, cède, et toutes les barrières peuvent être alors allègrement franchies.
La tâche de sang persistante que Mother rencontre périodiquement, outre la métaphore menstruelle qui la condamne à être elle aussi une créature charnelle qui enfante dans la douleur, est aussi la métaphore de sa propre faute, celle d’avoir choisi un Adam pour mari et non un homme « de cœur », comme elle. Elle est damnée tout comme lui et condamnée à revivre cycliquement le même cauchemar, sans possibilité de salut.

En résumé, Mother ! est un film qui exalte le triomphe final du « mal », la victoire de Lucifer, le porteur de lumière, comme de multiples commentateurs l’ont bien perçu avec justesse. Et ceci au détriment de l’amour généreux dispensé par la femme supérieure (en opposition à l’Eve vénale, objet sexuel vouée à la reproduction et à la survie du géniteur Adam), rebaptisée Mother, asservie aux seuls intérêts de celui qui la manipule, un ego vampirique sans conscience et sans scrupules.
La folie inhérente à ce film est donc celle du réalisateur qui compte bien nous manipuler à notre tour pour nous entraîner dans son délire, non sans avoir au préalable prélevé le prix (bien matériel d’un ticket de cinéma) que nous devrons payer pour participer à cette débauche de violence et d’insanité. Quant à ses contempteurs, ils peuvent toujours utiliser cette analyse critique pour justifier leur rejet et leur dégoût de ce honteux paganisme qui, sous couvert d’art, imite la création originale sans jamais l’égaler !

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Comment on Lost Soul : The Doomed Journey of Richard Stanley’s Island of Dr. Moreau by Félix /2014/09/16/lost-soul-the-doomed-journey-of-richard-stanleys-island-of-dr-moreau/#comment-154607 Sun, 16 Sep 2018 13:40:19 +0000 /?p=8687#comment-154607 ça a l’air super intéressant ! comment le voir aujourd’hui ?

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Comment on Explication et analyse du film Mother! par Darren Aronofsky by Volpille /2017/09/17/explication-et-analyse-du-film-mother-par-darren-aronofsky/#comment-154433 Tue, 04 Sep 2018 23:01:21 +0000 /?p=11252#comment-154433 Merci pour tous ces commentaires très inspirants ! J’avoue avoir moi aussi été chamboulé par ce film, et lire vos commentaires m’a permis de le voir d’une tout autre façon et donne matière à réfléchir.

Bien que faisant échos au récit biblique en partant de la genèse et du jardin d’éden pour en finir à l’apocalypse, Lui ne peut être Dieu. Comme le souligne Thinker, Dieu est Amour et n’attend pas des hommes qu’ils donnent son amour pour lui. C’est précisément le contraire qui est vrai. Dieu aime les hommes et est miséricordieux, mais il est aussi juste et a horreur de leurs péchés, ce qui n’est clairement pas le cas de Lui, qui est totalement indifférent aux péchés commis dans la maison. Un peu comme satan, qui s’en fiche un peu de ce que les hommes font, tant qu’ils le suivent.

Lui ne peut donc être le Dieu d’Amour que décrit le nouveau testament. C’est là que la lecture de Tubalcain devient intéressante : un scénario qui diabolise Dieu. Ma propre croyance en un Dieu Amour m’empêche d’aimer cette idée. Elle est néanmoins intéressante. L’idée qu’un père sacrifie son fils en le remettant aux hommes est une idée abject. Et c’est (trop) souvent comme cela que l’on perçoit le sacrifice de Jésus. Je préfère interpréter cet acte comme l’une des nombreuses conséquences de son besoin d’être admiré par ses fans : “mais ils voulaient le voir”, dit-il lorsque Mother lui demande pourquoi il a fait ça.
En fait, si un personnage incarne Dieu, c’est plutôt Mother. En effet, Dieu aimerait que son amour suffise à tout homme, tout comme Mother aurait aimé que son amour suffise à Lui. Elle peut donc dépeindre l’image d’un Dieu déçu par l’Homme, qui au lieu de s’accomplir pleinement dans son amour, va se réaliser dans ses propres créations (s’assimilant aux œuvres du poète) et n’avoir d’yeux pour l’autre que par l’intérêt qu’elles suscitent. Dieu au contraire, va donner son amour à l’homme (Lui) jusqu’au bout, même alors que l’homme -Lui- s’est complètement détourné de lui (Mother) et n’en a eu que pour son amour-propre.

A la fin, Mother est blessée, brûlée, exténuée, anéantie, mais elle vit toujours car ce qui la fait vivre est l’amour. D’ailleurs, elle est réduite en poussière seulement lorsque Lui arrache l’amour qui lui reste et qu’elle lui offre encore en dépit du narcissisme dont il a fait preuve.
Ce n’est surement pas le message qu’à voulu faire passer le réalisateur, mais le film est suffisamment riche pour laisser libre cours à de diverses réflexions et interprétations.

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Comment on Explication et analyse du film Mother! par Darren Aronofsky by Che guevara /2017/09/17/explication-et-analyse-du-film-mother-par-darren-aronofsky/#comment-154091 Fri, 10 Aug 2018 11:53:05 +0000 /?p=11252#comment-154091 Moi,je pense que ce film est une immersion dans le cauchemars d’une femme qui était en couple avec Daren aronofsky alors qu’il recherchait une idée de scénario.Peut être que ce cauchemars est celui de l’actrice principale du film.
En panne d’inspiration,il aurait pu décider de se servir de ce cauchemars qu’il a intitulé Mother!.
Je comprends les rêves et si c est le cas ici,la rêveuse dans ce rêve s’intérrogerait sur l’amour qu’elle porterait à Daren Aronofsky.
Elle le décrit dans le film et pointe du doigt tous ce qu’elle n’aime pas chez lui.
Ce rêve traduirait également un stress psychique.
La peur de l’échec.Dès le début on voit dans le film, le poète arriver, déçu de ne pas avoir vu d’abeilles alors qu’il veut creer une ruche.
Je pense que ces abeilles symbolisent, nous, qui allons voir les films puis donner des critiques.
Elle douterait en réalité des capacités de Daren Aronofsky à produire des succès sur du long therme.
Elle éprouve des sentiments mais ne peut se résoudre à une vie de famille avec lui car les signaux sont mauvais.
Le cristal qu’on voit et qui tiens particulièrement au poète symbolise un prix cinématographique(golden globe etc..).
Il décrit l’obnubilation de Daren Aronofsky pour les prix lors des nominations.
Il ne pense qu’a ça et Jennifer Lawren n’aime pas ça.

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